Les jeunes de la paroisse Nativité du Seigneur de Kpandiyo dans la préfecture de Sotouboua se sont retrouvés le lendemain de la célébration de Pâques 2021 c’est-à-dire le 5 avril pour une journée d’amitié et de fraternité baptisée ‘Pâques des jeunes’.
C’est le sanctuaire Notre Dame de la Merci qui a servi de cadre à ce rassemblement. A cette première édition de la Pâques des jeunes, ceux-ci n’ont pas fait les choses à moitié. 
En effet, tout le monde s’est impliqué à commencer par les pasteurs, les religieuses canossiennes, les adultes, les enfants et enfin les jeunes eux-mêmes. Aussi des T-shirt et des chemises Lacoste ont-ils été confectionnés sur lesquels on peut lire ce qui suit : Paroisse Nativité du Seigneur de Kpandiyo ; Jeunes à nous l’avenir ; Jeunes, responsables de la famille de demain. A les voir habiller la plupart dans ces chemises ‘uniforme’, cela donnait un bel éclat à cette Pâques des jeunes. 
Plusieurs activités ont meublé cette journée à savoir la prière du chapelet, un enseignement sur le thème de la résurrection, des chants chorales, un concours de prix, la messe, le pique-nique, le récital…Pour le curé de la paroisse, le père Bernard WALLA, cette journée a été souhaitée afin de galvaniser encore plus les jeunes et les aider à recentrer davantage le Christ dans leur vie. Joyeuse et belle, cette première édition de la Pâques des jeunes aura été une réussite. Mille regrets aux absents. En effet, il s’est agi de donner l’occasion aux jeunes de réfléchir ensemble et se réjouir. Ce qui fut fait dans le respect des contraintes sanitaires dues à la pandémie du covid-19. Dieu bénisse les initiateurs. Vive la jeunesse !
Le peuple de Dieu à Sokodé a eu sa messe chrismale le samedi 27 mars 2021 à la Paroisse Cathédrale Sainte Thérèse. Celle-ci fut naturellement présidée par l’ordinaire de Sokodé Mgr Célestin-Marie GAOUA entouré de son presbyterium. 
Dans l’homélie qu’il a prononcée, le prélat a rappelé la nécessité aux prêtres, aux religieux et aux laïcs de célébrer l’Eucharistie dans la dignité. En effet, Mgr Célestin-Marie a invité l’ensemble du peuple de Dieu à prendre soin de tout ce qui entre en ligne de compte pour une célébration ‘digne’ de l’Eucharistie (missels, vases sacrés, ornements liturgiques etc.). Aussi, s’est-il attardé sur la lettre du Pape François Patris corde donnée le 8 décembre 2020 à l’occasion de la célébration du 150ème anniversaire de la proclamation de St Joseph comme Patron de l’Eglise universelle en y invitant chaque prêtre à avoir un ‘cœur de père’ à l’instar de St Joseph.
Joyeuse et fervente, cette célébration s’est déroulée dans le strict respect des mesures barrières contre le covid-19. 
Après la célébration eucharistique, un repas festif fut servi à tout le clergé mais avant cette étape l’ordinaire de Sokodé a initié une petite rencontre avec tout le presbyterium afin de communiquer les dispositions pratiques concernant la semaine sainte.
19 mars 1991-19 mars 2021, il y a trente (30) ans jour pour jour que les Sœurs Marielle AMEMADO et Edith-Laure TOVI de l’institut des Sœurs Notre Dame de l’Eglise ont dit un ‘oui’ définitif au Seigneur. L’action de grâce de cet anniversaire de consécration religieuse s’est déroulée le dimanche 21 mars 2021, cinquième dimanche de carême à la Paroisse St François d’Assise d’Akamadè à Sokodé. En effet, l’Eucharistie de circonstance fut présidée par le père Moïse DADJA (du clergé diocésain, Directeur de Radio Sainte Thérèse) et concélébrée par les pères Carlos EMI WADAN(de la Société du Verbe Divin, Curé de la paroisse St François d’Assise) et Benjamin ATAMA (du clergé diocésain, Aumônier au Complexe Assomption) en présence d’une foule nombreuse de fidèles,et de religieuses venus de près ou de loin rendre grâce à Dieu avec les élus du jour. 
Dans son prêche, l’officiant a rendu grâce au Seigneur pour son amour et miséricorde à l’endroit des sœurs Marielle et Edith-Laure. Poursuivant sa méditation, il a relevé le fait qu’il n’y a rien de plus grand, de plus noble, de plus merveilleux dans le monde que d’être au service du Seigneur. Aussi, a-t-il martelé que le service du Seigneur est une source intarissable de joie. Il a remercié enfin les sœurs pour leur fidélité et leur réponse généreuse à servir le Seigneur et leurs frères et sœurs en humanité.
Au terme de la célébration, c’est la Sœur Marielle qui a pris la parole pour remercier les uns et les autres pour leur prière et leur affection. Aussi a-t-elle profité pour exhorter les jeunes gens à ne pas avoir peur de s’engager au service du Seigneur. Animée par la chorale des jeunes de la paroisse, cette célébration fut joyeuse et priante. Béni soit Dieu pour ses œuvres. 
A l’occasion des formations en Cohésion sociale organisées par le Conseil Episcopal Justice et Paix Togo (CEJP TOGO) dans le cadre du projet : « Consolidation de l’engagement des leaders, des jeunes et des femmes à la citoyenneté et à la solidarité » dans les communes de Tchaoudjo 3(Aléhéridè) et Tchaoudjo 2 (Lama-Tessi), une cérémonie d’ouverture des dites formations a eu lieu le 18 mars 2021 à Aléhéridè. Au menu, plusieurs allocutions notamment celle du représentant de l’évêque de Sokodé, celle du représentant du maire de la commune de Tchaoudjo 3, et enfin celle du représentant du préfet de Tchaoudjo. 
4 groupes identitaires sont visées par ces formations en cohésion sociale dans chacune des communes à savoir 20 leaders (communautaires, religieux et politiques), 30 agropastoraux et artisans, 20 conducteurs (taxi-moto, voiture de transport) et 25 commerçants. Celles-ci sont prévues du 18 au 20 mars 2021 pour la commune de Tchaoudjo 3 (Aléhéridè) et du 22 au 24 mars 2021 pour la commune de Tchoudjo 2 (Lama-Tessi). Concrètement plusieurs modules feront l’objet des échanges avec les bénéficiaires du projet pendant ces 72 heures. Ceux-ci une fois formées, devront répercuter le message auprès de leurs groupes identitaires. 
C’est ainsi que se construit petitement la cohésion sociale tant souhaité pour les fils et filles de notre chère patrie le Togo. Rappelons que le CEJP TOGO à travers ce nouveau projet veut étendre son expertise et ses acquis des projets antérieurs de la cohésion sociale exécutés conjointement avec le Catholic Relief Services (CRS), l’ambassade des Etats-Unis et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Vive la cohésion sociale ! Vive la paix ! 
Du 18 au 20 février 2021, les prêtres du diocèse de Sokodé se sont retirés à la Direction Diocésaine des Œuvres (Kédia) pour la recollection du temps de carême. Celle-ci fut prêchée par le Père Jean BAKATRA du diocèse de Kara. « Ton Père qui voit dans le secret te le rendra » (Mt 6, 1-6, 16-18) est le thème qui a servi de méditation pendant ces quelques heures d’intimité avec le Seigneur. 
Le prédicateur a en effet, axé sa méditation en trois points à savoir la prière comme relation intime avec Dieu le Père, le service de l’amour comme don gratuit, et le jeûne comme sacrifice librement consenti, reconnu par Dieu seul. En dehors des conférences, les autres temps forts de cette récollection sont les offices, la méditation, la confession et le chemin de croix. 
Aussi, faut-il rappeler aux mémoires que l’Eucharistie fut l’activité spirituelle maitresse qui a porté les autres activités. Notons qu’en raison de la crise sanitaire du covid-19 qui prévaut actuellement avec la recrudescence de nouveaux cas de contaminations, cette récollection fut réservée seulement aux prêtres. Ceux-ci sont repartis d’ailleurs chez eux très satisfaits pour ce qu’ils ont reçu en termes de grâces.
Ils pourront entrainer le peuple de Dieu dans la prière, le jeûne et le partage durant les quarante jours conduisant à la célébration de la Pâques qui est la victoire du Christ sur la mort et le péché. Fructueux temps de carême à tous les chrétiens. Dieu bénisse les efforts de carême des uns et des autres.
Les fidèles de la Paroisse Nativité du Seigneur de Kpandiyo (Sotouboua) ont passé un dimanche spécial au Sanctuaire Notre Dame de la Merci. En effet, le dimanche 14 février 2021 sera pour eux ‘unique’ et ‘historique’. 
Dans sa prédication, l’évêque de Sokodé a abordé trois points : Le premier point concerne la guérison du lépreux, le second point est relatif aux couples et le dernier point concerne l’installation du nouveau curé. S’agissant de la guérison du lépreux, le prélat a laissé entendre qu’avec Jésus, nul n’est trop loin pour Dieu. Avec Jésus, nul n’est perdu pour Dieu, a-t-il poursuivi. Abondant sur la célébration de la Saint Valentin de cette année, Mgr Célestin-Marie a rappelé que ce moment est donné aux couples déjà formés ou en formation de se souvenir de leur premier amour et de le consolider par la prière. Mais, insista-t-il également que la célébration de la Saint Valentin de cette année est particulière en raison de la crise sanitaire du covid-19 qui impose le respect des mesures barrières. Enfin, s’agissant de l’installation du nouveau curé, l’ordinaire de Sokodé a révélé que celle-ci un acte officiel qu’organise l’Eglise afin de rendre visible devant la communauté paroissiale la présence de l’évêque.
En effet, les Frères Charles TCHANGAI et Fidèle AMANA ont fait leur engagement définitif dans l’institut des Frères Missionnaires de Campagne. Quant aux Frères Ezéchiel MIDJOUGOUNA et Pacôme HOUESSOU, ils ont fait leur engagement temporaire.
C’était au cours d’une célébration eucharistique présidée par l’ordinaire du diocèse de Sokodé, Mgr Célestin-Marie GAOUA et concélébrée par une quarantaine de prêtres dont le Père Pierre ROUAMBA, un des Supérieurs des élus du jour. On notait également la présence de nombreux religieux et de nombreuses religieuses de plusieurs instituts dont les Sœurs Missionnaires des Campagnes.
En se basant sur la péricope évangélique proclamée (Mt 25, 14-30), le prélat a exhorté en substance les futurs profès à faire fructifier les talents reçus dans leurs missions respectives auprès des ruraux. Notons que l’émission de ces vœux coïncidait avec les vingt-cinq de vie religieuse du père Sébastien.
Animée par la fédération des chorales de la paroisse NDA, cette belle célébration s’est déroulée dans le respect des mesures de prévention et de lutte contre le covid-19. Pour finir, retenons que les Frères Fidèle AMANA et Charles TCHANGAI sont tous deux originaires du diocèse de Sokodé. Félicitations aux nouveaux profès et en avant pour la mission. 
Dans son adresse à l’endroit des professes, le prélat les a exhortés à devenir des cierges qui brillent et qui brûlent c’est-à-dire qu’elles devront rayonner du Christ. Aussi devront-elles accepter de se consumer. Autrement dit, la dimension sacrificielle est très indispensable dans la sequela christi. Au terme de la célébration eucharistique, les Sœurs Parfaite et Nadège n’ont pas manqué d’exprimer leur profonde reconnaissance au Seigneur, à l’évêque, à leur famille religieuse, à leur parent bref à tous ceux qui les ont soutenus d’une manière ou d’une autre. C’est la Sœur Colette SIMLISSI, représentante de la Supérieure Générale Sœur Marie Adèle ROSAR qui a reçu ces vœux. 
Rappelons pour finir que cette célébration s’est déroulée dans le strict respect des mesures de prévention et de lutte contre le Covid-19. Félicitations aux Sœurs Parfaite et Nadège pour leur réponse généreuse à l’appel du Seigneur. 
En effet, c’était au cours de la messe qu’il a présidée à la paroisse Christ Lumière du Monde de Kpangalam. Dans son prêche, le prélat a invité les fidèles à servir de ‘pont’ entre Dieu et les hommes
